Effacer...
La peur n'évite pas le danger.
Samedi soir....
Chut pas besoin d'en dire plus.
Lundi j'ai vu mon psy.
Je crois que ça a été la séance la plus constructive jusqu'à lors avec lui.
On a parler de ce que je ressens. Quand je crise, apres le départ de mon copin.
Oui après son départ.
Merde, pourquoi ressentirais je le besoin d'éffacer la vie, sa présence chez moi apres son départ?
Alors j'y pense, à tout ça, à moi, à ce que ça signifie...
Semaine de fou,
Maquette à grande échelle, coupe de 5 m de long...
Hier on a bossé à l'école jusque 1h30.
Peu m'importe , j'y resterai bien tout le temps.
Je ne sais même pas ce que je mange par jours, par semaine,
Difficile à quantifier, puisqu'en vrac.
Puisqu'en puissance du samedi au mardi,
Puisque rien du mercredi au vendredi.
Toujours.
Depuis 2 semaines, sans vomir.
Je viens de finir TOUT ce que j'avais chez moi.
Plus rien, jusqu'au dernier sucre du paquet de 1 kilo...
Merde, je m'en veux.
Me voilà désormais "neuve" et "vierge" de toute présence, de toute vie dans mon appart.
Etrange non, comme "conception" et pourtant ça serait ce que symboliserait ces "goinfrages".
J'ai hate de ce week end en realité pour me retrouver avec lui.
Pour réecrire sur la page blanche que je me suis empréssée de gommer samedi après son départ.