J'ai passé une semaine horrible...Crise sur

J'ai passé une semaine horrible...
Crise sur crise....
Jusqu'à en bouffer de la farine mélangée à de l'eau because plus rien d'autre chez moi...

Alors mille et une questions...sur le pourquoi? le comment arreter?
Merde c'est pas une vie de vomir 4 fois par jours...

Je pense que je pourrais m'en passé c'est ça qui me démoralise le plus,
Je me sens... sans volonté...

Je sais bien qu'il n'y a pas de solution miracle,
je ne vois quoi faire plus pour arranger la situation.
Je suis heureuse, j'ai des amis,
J'ai un copin, une famille,
Je fais des études, j'ai un appartement,
Je vois un psy, j'essais de passer du temps en dehors de chez moi,
Je fais le minimum de courses,
Je souris.

Et pourtant... je bouffe et je vomis.

Le week-end arrive et je suis morte d'angoisse...
J'ai un jury jeudi , ce qui veut dire que je vais devoir bosser de samedi midi à jeudi non stop avec mes binomes.
Ce qui m'angoisse?
Le fait que chéri vienne ce soir et que je ne sais pas comment gérer le fait qu'il soit là et que mes amis viennent chez moi demain à 13h pour bosser.
Si il reste, ça veut dire manger vers 12h, ce qui est assez dur quand on se lève tard et sachant que d'habitude le samedi on mange vers 14h.
Si il repart je vais culpabiliser de le "renvoyer" alors qu'il fait 50 min de route pour venir.

Bref... la situation peut vous paraitre "banale" mais... mon incapacité à dire clairement et simplement les choses aux gens par peur de les blesser me met toujours dans des situations angoissantes..

Alors pour éviter de devoir aller faire les courses samedi matin avec chéri (comme tous les samedis) j'y suis allée ce matin. Comme ça si il reste...
Oui j'ai fait des courses. Seule.
Des courses normale. Bou 3h dans le magasin , c'etait un véritable calvaire.
Il fallait prendre des choses non périssable ou périssable dans longtemps.
Je calculais tous dans l'hypthese de pouvoir composer des repas par la suite pour moi.
Oui, oui...

Je n'ai pas de solution, ni de réponse.
Mais je vais tout faire cette semaine pour ne pas criser.
Pas de courses en prévision vu que je les ai faite hier.
C'est donc à moi de "jouer".
A moi d'afficher ma volonté.
Je suis morte de trouille. Je suis crispée d'angoisse.

Comments

[Sid]

Même chose pour moi. Exactement la même. Le psy en moins. Je suis perdue. Et j'ai pas les mots pour te sauver.
Comment se faire violence ?

Je pense à toi, bon courage. Parait qu'avec de la motivation, on peut y arriver.
Bises.

[Ansidora]

J'en ai fais longtemps étant plus jeune, en club. Et puis j'ai arrêté faute de temps. Là je me suis réinscrite dans le même club, je commence jeudi, j'ai hâââte !

Biz.

Carole.

[Anesidora]

Oups, petit bug.

Bref, je voulais juste te dire (même si c'est plus facile à dire qu'à faire), essaye de relativiser. De, petit à petit, faire des choses non "prévues". Et quand un imprévu se présente (là, tes binômes et ton homme en meme temps), laisse faire. N'essaye pas de vouloir tout contrôler, c'est impossible. Tu verras, je suis sûre que tout se passera bien quand même.

J'espère que tu réussiras à passer un bon week-end, malgré le boulot que tu as à fournir.

Courage.

Carole.

[Anesidora]

Je lis tes mots, et la première pensée qui me vient en tête c'est : "elle se noit dans un verre d'eau". Je ne pense pas aux crises. Pour ça, je ne comprends que trop.

Je pense plutôt au fait que tu sembles te prendre le chou sur l'heure de manger, sur qu'est-ce que tu prends au supermarché ou le fait d'oser dire à ton homme que tu as du boulot et donc peu de temps à lui accorder. Honnetement, je pense que tu peux lui dire les choses clairement, il est capable de comprendre que tes études sont importantes et que là, pendant quelques jours, tu ne peux pas tout gérer.

Ta vie semble rêgler comme du papier à musique (chérie qui vient le week-end, avec qui tu fais les cours le samedi. On dirait que le moindre petit imprévu te met dans des états pas possibles.

[Anesidora]

Je lis tes mots, et la première pensée qui me vient en tête c'est : "elle se noit dans un verre d'eau". Je ne pense pas aux crises. Pour ça, je ne comprends que trop.

Je pense plutôt au fait que tu sembles te prendre le chou sur l'heure de manger, sur qu'est-ce que tu prends au supermarché ou le fait d'oser dire à ton homme que tu as du boulot et donc peu de temps à lui accorder. Honnetement, je pense que tu peux lui dire les choses clairement, il est capable de comprendre que tes études sont importantes et que là, pendant quelques jours, tu ne peux pas tout gérer.

Ta vie semble rêgler comme du papier à musique (chérie qui vient le week-end, avec qui tu fais les cours le samedi. On dirait que le moindre petit imprévu te met dans des états pas possibles.